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Notre processus aide le Canada à trouver des solutions de développement durable intégrant les considérations environnementales et économiques afin d'assurer la prospérité et le bien-être de notre nation.

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We rigorously research and conduct high quality analysis on issues of sustainable development. Our thinking is original and thought provoking.

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We convene opinion leaders and experts from across Canada around our table to share their knowledge and diverse perspectives. We stimulate debate and integrate polarities. We create a context for possibilities to emerge.

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We generate ideas and provide realistic solutions to advise governments, Parliament and Canadians. We proceed with resolve and optimism to bring Canada’s economy and environment closer together.

2.4 Perspectives régionales — Commentaires entendus

Définir notre avenir : Vers une économie faible en carbon
 

En complément de cette évaluation empirique des avantages relatifs du Canada, des renseignements ont
été recueillis dans le cadre des discussions tenues avec des parties prenantes des quatre coins du pays, qui
avaient une compréhension plus nuancée des forces et des faiblesses au niveau régional. Animées par la
TRN et ses partenaires régionaux (Encadré 1), ces discussions régionales ont servi à mettre en évidence
les avantages associés aux ressources naturelles à faible teneur en carbone du Canada et à son capital
humain, sans oublier l’expérience et les compétences connexes ainsi que la capacité institutionnelle. Les
possibilités rattachées à une économie sobre en carbone ont été décrites par rapport à ce qui existe actuellement
et à ce qui pourrait exister à la lumière des connaissances et des opinions des participants au
regard des avantages et des capacités actuels. Les Figures 5 et 6 présentent respectivement, sous forme
graphique, les ressources à faible teneur en carbone et la capacité de production d’électricité à faible
intensité de carbone au Canada, et les avantages ainsi que les possibilités sous l’angle d’une économie
sobre en carbone d’après les propos des parties prenantes régionales.

Les participants à ce dialogue pancanadien s’entendaient à dire que les possibilités du Canada dans le
contexte d’une économie sobre en carbone sont aussi diversifiées que la géographie du pays. Ils étaient
également unanimes à déclarer que la capacité d’innovation du Canada constituait un avantage important
et recelait un vaste potentiel (des exemples de centres d’innovation sobre en carbone sont présentés dans
l’Encadré 2). Qu’il s’agisse du Fundy Ocean Research Centre for Energy (FORCE) en Nouvelle-Écosse,
du district de la découverte MaRS en Ontario, d’Écotech au Québec, du Canadian Centre for Nuclear
Studies en Saskatchewan, de la vaste expertise en matière de CSC qui est disponible en Alberta ou de la
grappe des technologies propres en plein essor en Colombie-Britanniquek, les Canadiens considèrent leurs
régions comme étant des centres d’innovation en mesure de concourir activement à un avenir sobre en
carbone. On a aussi souligné la nécessité de faire les choses correctement dès le départ pour réduire les
répercussions et les inconvénients par la suite (notamment en ce qui concerne l’efficacité énergétique des
bâtiments et l’aménagement urbain). Les défis régionaux (p. ex., réseaux de transports régionaux, infrastructures
électriques interrégionales insuffisantes) ont aussi été mentionnés fréquemment, du fait des
possibilités qui s’y rattachent. À de nombreuses reprises, on a indiqué que l’efficacité énergétique dans le
contexte des transports, des bâtiments et de l’industrie constitue une possibilité clé dont on n’a pas encore
tiré parti. La possibilité de recourir à l’électricité en remplacement des combustibles fossiles lorsqu’il
existe un fort potentiel d’électricité à faible intensité de carbone (électrification) a aussi été notée dans
plusieurs provinces. On trouvera à l’annexe 6.2 une description plus détaillée des possibilités mentionnées
au cours de ces discussions. Les principaux messages au niveau de chaque région sont résumés ci après.

Encadré 1

Encadré 1

Figure 5

Figure 5

Figure 6

Figure 6

Encadré 2

Encadré 2

OUEST CANADIEN

L’Ouest canadien dispose de ressources à faible teneur en carbone variées, et les possibilités rattachées à
une économie sobre en carbone varient sensiblement d’une province à l’autre; cela dit, plusieurs thèmes
communs sont ressortis des discussions avec les parties prenantesl. L’accent était mis sur le parti à tirer
des avantages existants. Le bien être économique de l’Ouest est en grande partie axé sur les industries
des ressources naturelles – agriculture, hydroélectricité, pétrole et gaz naturel, extraction minière.
L’expertise détenue dans ce domaine est perçue comme étant un actif précieux et comme pouvant servir
de plateforme à la recherche et à l’innovation. Les participants aux discussions estimaient notamment que
les compétences et l’expérience dans le secteur de l’énergie fournissaient un avantage en vue d’exploiter
des ressources énergétiques à faible teneur en carbone. On a mentionné que l’Ouest regorgeait de telles
ressources, par exemple l’hydroélectricité, la biomasse, l’énergie solaire (l’un des participants a indiqué
que l’Alberta et la Saskatchewan recevaient plus d’énergie solaire que le Texas ou l’Allemagne), l’énergie
éolienne (côtière et extracôtière), les ressources géothermiques et l’uranium. Une fraction importante
de l’énergie produite au Manitoba et en Colombie-Britannique est déjà à faible intensité de carbone. Les
vastes compétences de l’Ouest en matière de forage, d’organisation de grands projets et d’exploitation
dans des environnements hostiles peuvent être mises directement à profit afin de mettre en valeur les
ressources géothermiques. Ainsi que c’est souvent le cas, les éléments qui soulèvent les plus gros défis
(p. ex., combustibles fossiles, transports) sont également ceux qui ouvrent les plus grandes possibilités.
Certains ont indiqué que l’on n’avait pas encore tiré tous les avantages possibles au chapitre de l’efficacité
énergétique (un exemple des efforts déployés récemment à cet égard est présenté dans l’Encadré 3).
Selon des participants, il faut miser sur une coopération interrégionale plus grande dans différents
domaines, en particulière au regard de la nécessité de bâtir des infrastructures électriques additionnelles afin de permettre un accroissement du transport longitudinal d’électricité. Il a été mentionné que l’Ouest
s’intéressait grandement à la commercialisation des technologies de CSC, et qu’il possédait déjà un
avantage à ce chapitre. L’esprit d’entreprise qui existe dans l’Ouest et l’expérience acquise dans mise en
oeuvre de programmes de tarification du carbone en Colombie-Britannique et en Alberta sont deux autres
avantages que possède l’Ouest. En contrepoint de la nécessité d’opérer une transition vers une économie
sobre en carbone, on a fait état de l’assise économique existante (et émergente), en soulignant la nécessité
de concilier ces deux réalités (Encadré 4).

Encadré 3

Encadré 3

Encadré 4

Encadré 4

ONTARIO

Les discussions avec les parties prenantes de l’Ontario sur l’économie sobre en carbone ont fait ressortir
l’influence notable exercée par la Loi de 2009 sur l’énergie verte et l’économie verte sur tous les aspects
touchant l’énergie dans la province, que l’on pense à l’approvisionnement, aux technologies ou à l’innovation.
L’avantage dont dispose actuellement l’Ontario à titre de fournisseur d’électricité principalement à faible
intensité de carbone a été mentionné, mais l’on y mettait un bémol en soulignant la nécessité de disposer
d’une plus grande capacité de production d’énergie de lissage, surtout si l’on considère le succès qu’a connu
le programme de tarifs de rachat garantis aux fins d’encourager la mise en valeur de ressources énergétiques
intermittentes (p. ex., énergie éolienne et solaire). Il a été question de la possibilité de recourir à la biomasse
pour combler cette lacune. L’avantage dont jouit l’Ontario à titre de centre de l’industrie nucléaire au
Canada a également été noté. Cette industrie offre de grandes possibilités à long terme (notamment en
ce qui a trait à la mise au point des réacteurs de nouvelle génération), mais elle doit raffermir sa position
sur la scène internationale pour pouvoir demeurer viable. L’expertise que l’on retrouve au sein du secteur
financier de l’Ontario peut être mise à profit pour relever les défis financiers entourant la transition vers une
économie sobre en carbone. Tant le secteur financier que les innovateurs canadiens dont les efforts vont
dans le sens de faibles émissions de carbone peuvent y trouver leur compte. Un autre point mentionné est la possibilité pour la province d’exporter son « capital intellectuel ». Un certain nombre de sociétés ontariennes
du secteur des technologies sobres en carbone et des technologies de production d’énergie renouvelable ont
su mettre au point et exporter des versions nouvelles et innovatrices de technologies existantes. Il faut aussi
disposer de technologies de production d’énergie hors réseau innovatrices pour de nombreuses collectivités
autochtones, ce qui constitue un contexte idéal pour procéder à des essais et conclure des partenariats
pouvant aboutir à plus long terme à des ventes sur les marchés internationaux de technologies dont la
valeur aura été démontrée ici. Il a aussi été dit que la conscientisation et l’accroissement des connaissances
au sujet de l’énergie et des émissions pourraient en soi conduire à des gains d’efficience et à la réduction
de la consommation d’énergie. Pensons par exemple aux possibilités ouvertes par le « onde virtuel », à
la « ludification » de l’efficacité énergétique et à la mise au point de nouvelles solutions technologiques.
Concernant les industries manufacturières de la province, on a indiqué que le secteur de la fabrication
d’automobiles était en mesure de contribuer à combler la demande prévue de véhicules à faibles émissions
de carbone en Amérique du Nord (Encadré 5). Une autre observation a été que les douze plus importants
émetteurs industriels de GES en Ontario produisent 80 % des émissions industrielles provinciales. Étant
donné cette concentration des émissions, le CO2 résiduaire pourrait constituer une ressource si des
approches innovatrices permettent de le capter et de l’utiliser, par exemple pour produire des combustibles
provenant de la biomasse.

Encadré 5

Encadré 5

QUÉBEC

Le Québec dispose de vastes ressources énergétiques à faible teneur en carbone qui offrent encore
d’importantes perspectives de mise en valeur, qu’il s’agisse d’hydroélectricité, d’énergie éolienne, d’énergie
solaire ou de ressources provenant de la biomasse. Le Plan Nord fait aussi état des ressources d’uranium
et de l’énergie marémotrice à exploiter dans le Nord québécois. Des travaux récents menés par Écotech
Québec ont mis en lumière un fort potentiel de développement technologique touchant l’hydroélectricité,
l’efficacité énergétique, la biomasse et la gestion des matières résiduelles. C’est uniquement au Québec
que la gestion de telles matières est envisagée de cette façon. Le cadre législatif provincial applicable à la
gestion des matières résiduellesm fournit une assise solide pour accroître la récupération d’énergie à partir
de matières résiduelles non recyclables que l’on ne retrouve pas en quantités comparables dans la plupart
des autres administrations publiques canadiennes. Il a aussi été indiqué que le Québec détient un avantage
concurrentiel dans le domaine de la fabrication de certains produits en raison de la forte intensité d’énergie
associée à ces produits et de la possibilité d’utiliser de l’électricité à faible coût et à faible intensité d’énergie
pour les fabriquer (pensons entre autres à l’aluminium). De façon plus générale, en raison de l’électricité à
faible intensité de carbone du Québec, la plupart des produits manufacturés soutiennent avantageusement
la comparaison avec les produits concurrents sous l’angle de leur empreinte carbone. Cela constitue à la fois
un avantage et une occasion à saisir pour l’industrie manufacturière québécoise. Du fait qu’il existe déjà une
infrastructure de fabrication de matériel de transport, des chaînes d’approvisionnement bien au point et de
vastes compétences, le Québec aurait les moyens de concevoir et de fabriquer à grande échelle du matériel
de transport à faibles émissions de carbone, par exemple des autobus électriques. Plusieurs projets sont
d’ailleurs en cours, notamment une initiative menée en collaboration par des universités et des centres de
recherche en partenariat avec l’administration publique et des entreprises de premier plan afin de mettre
au point et de tester des concepts d’aéronefs à faibles émissions de carbone. On a aussi fait valoir que,
considérant la longue histoire et l’importance du secteur des produits forestiers au Québec, il y aurait de
vastes possibilités de réorientation des activités du secteur vers la production de produits à faible intensité
de carbone. Il a notamment été fait mention d’un projet de bioraffinage forestier dont le but premier est de
mettre au point des nouveaux produits à partir de la biomasse forestière, puis d’en faire la démonstration.
Le Québec compte aussi sur un secteur des technologies de l’information et des communications (TIC)
bien développé, ce qui constitue un atout important en vue de mettre au point de nouveaux produits et
systèmes de TIC favorisant une réduction de la consommation d’énergie. Enfin, il a été mentionné que les
transports représentaient l’un des principaux défis du Québec au chapitre des GES, les transports routiers
produisant à eux seuls le tiers de ces émissions dans la province. Si l’on considère l’approvisionnement
actuel en électricité à faible intensité de carbone et l’importante capacité encore inexploitée à cet égard, on
retrouve au Québec le contexte idéal pour tester et mettre en service à la fois des véhicules électriques et
l’infrastructure connexe.

CANADA ATLANTIQUE

Même si leur distribution dans la région n’est pas uniforme, il existe au Canada atlantique des ressources
énergétiques à faible teneur en carbone de nature variée. Le concept d’« arrière pays de la mer » est
particulier au Canada atlantique. La mise en valeur des ressources marines est l’un des principaux facteurs
expliquant l’essor économique actuel de la région, et cette activité peut continuer de remplir un tel rôle dans
le contexte d’une économie sobre en carbone. Outre les possibilités d’exploitation de l’énergie océanique
(énergie houlomotrice et marémotrice) et de l’énergie éolienne, le développement de technologies marines/
océaniques connexes (p. ex., technologies de télédétection) offre d’importantes possibilités économiques à
long terme. On a souligné que la mise au point de technologies reliées à l’exploration pétrolière et gazière
au large des côtes devrait engendrer de grands avantages dérivés allant dans le sens d’une économie
sobre en carbone. Malgré la concurrence qui se livre à l’échelle internationale et le fait que le Canada
atlantique occupe une place relativement modeste à cet égard, la région – pour reprendre l’expression
utilisée par un participant – « n’est pas plus en retard que les autres » dans le développement de technologies
et l’acquisition de compétences en matière d’énergie marine. De plus, l’expérience touchant la mise en
valeur et la réglementation des ressources extracôtières, de même que l’expertise en matière de mise au
point de technologies pour l’exploration et la mise en valeur de ces ressources font en sorte que le Canada
atlantique (et en particulier Terre-Neuve-et-Labrador) peut tout à fait servir de plateforme de lancement pour
l’exploitation des ressources extracôtières de l’Arctique. Dans la mesure où les technologies de réduction du
carbone (CSC, etc.) deviennent viables, cela ouvre d’importantes perspectives dans le contexte d’une future
économie sobre en carbone. Les discussions sur les occasions rattachées à une économie sobre en carbone
ont aussi porté sur les possibilités de coopération régionale, notamment en ce qui concerne l’hydroélectricité
(p. ex., Lower Churchill Fallsn) et les lignes de transmission interprovinciales connexes. On a souligné que
ces sources possibles d’énergie de lissage représentaient un actif clé dans l’optique du développement plus
poussé de sources d’énergie renouvelable intermittente, comme l’énergie éolienne. Une autre observation
a été que les collectivités éloignées et les sites miniers de Terre-Neuve-et-Labrador offraient des conditions
idéales pour faire l’essai pilote de technologies de production d’énergie hors réseau à faible intensité de
carbone. Dans bon nombre de ces endroits, on utilise actuellement des groupes électrogènes diesel, et la
connexion au réseau représente un coût faramineux. Nalcor, société d’État de Terre-Neuve-et-Labrador
responsable de l’énergie, mène actuellement un projet pilote dans la collectivité insulaire éloignée de
Ramea, l’objectif étant d’utiliser l’énergie éolienne assortie d’un système de stockage d’hydrogène à titre de
principale source d’appoint (projet de solution énergétique éolienne hydrogène diesel sur l’île de Rameao),
que l’on intègre à un système générateur secondaire alimenté au diesel. Les participants ont insisté sur
la capacité d’innovation du Canada atlantique, en particulier les avantages combinés que constituent les
établissements de recherche et d’enseignement de première qualité que l’on y retrouve, un environnement
offrant un soutien dynamique au lancement d’entreprises et une qualité de vie exceptionnelle conférant à la région un avantage concurrentiel sur d’autres administrations aux fins d’attirer les travailleurs qualifiés.
Enfin, il a aussi été mentionné que le Canada atlantique peut tout à fait se prêter à une modélisation à
petite échelle, qu’il s’agisse de processus réglementaires ou de projets pilotes, et que cela offre l’occasion
de mener des projets qui, dans d’autres conditions, ne pourraient aller de l’avant dans la région.

2.5 Conclusion

 

Notre analyse fait ressortir l’importance croissante des secteurs producteurs de BSFIC à l’échelle à la fois
mondiale et nationale. Les possibilités qu’offre ce marché sont très grandes, et tant le secteur public que
le secteur privé du Canada auraient tout lieu de déployer des efforts appropriés afin de bien comprendre
le processus de transition vers une économie sobre en carbone à l’échelle mondiale et de pouvoir en
tirer tout le parti possible. Les possibilités qui s’offrent au niveau des régions canadiennes sont à la fois
importantes et variées, englobant par exemple les ressources à faible teneur en carbone et la capacité
de produire des produits et services à faible intensité de carbone et à valeur ajoutée. Parmi les éléments
communs observés, notons l’accent mis sur l’innovation, l’efficacité énergétique et la connectivité aux réseaux
au niveau interrégional ainsi qu’une exploitation accrue de ressources énergétiques renouvelables plus
localisées. Dans les sections subséquentes de ce rapport, nous traiterons des mesures requises pour que
les entreprises canadiennes soient à même de prospérer et de combler les besoins du marché.


[k] Le concept de technologies propres englobe la mise au point, la commercialisation et l’utilisation de technologies permettant de produire des biens ou des services
contribuant à réduire ou à éliminer les répercussions environnementales négatives, de combler des besoins sociaux tout en atteignant un rendement concurrentiel,
ou d’utiliser moins de ressources que les technologies ou services conventionnels (Analytica Advisors, 2011).

[l] Outre les thèmes abordés ici et commentés plus en détail à l’annexe 6.2, la Canada West Foundation a publié un rapport intitulé Cautious Optimism: Western Perspectives
on a Low-Carbon Economy, qui traite des tables rondes organisées dans l’Ouest canadien au sujet de l’économie sobre en carbone (Canada West
Foundation et Table ronde nationale sur l’environnement et l’économie, 2012).

[m] Loi modifiant la Loi sur la qualité de l’environnement concernant la gestion des matières résiduelles et modifiant le Règlement sur la compensation pour les
services municipaux fournis en vue d’assurer la récupération et la valorisation de matières résiduelles.

[n] Cela inclut les centrales que l’on envisage d’établir à Muskrat Falls et à Gull Island.

[o] Pour de plus amples renseignements, voir Ressources naturelles Canada, 2009a, et Nalcor Energy, 2010.

[29] Gouvernement du Canada, 2011b.

[30] Centre d’excellence en efficacité énergétique, sans date.

[31] Centre national de recherches du Canada, 2009.

[32] Enbridge, 2011

[33] NRGreen Power, 2009.

[34] Menzies, 2011.

[35] Environnement Canada, 2012.